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Pour avancer avec Charles de Foucauld

Les amis du bienheureux Charles de Foucauld ont organisé successivement trois soirées à Castres, Mazamet et Labruguière.
Plus d’une centaine de personnes y ont participé avec des débats où s’exprimait l’admiration pour celui qui se voulait « Frère universel », mais aussi la perplexité devant le temps qu’il consacrait à l’adoration eucharistique.
Est-ce adapté dans le monde d’aujourd’hui ?

Alexandre L. (Fraternité Charles de Foucauld), présent à Castres le 22 octobre, raconte :
«  La première soirée s’est déroulée avec les pères Claude Cugnasse, Jean Cros et Patrice Cochard, dans la salle paroissiale de Notre-Dame d’Espérance devant une assemblée d’environ 40 personnes.
Cette soirée fut articulée autour de 3 interventions portant sur Charles de Foucauld : sa mission, sa passion sans limite pour l’Eucharistie et la notion de Frère Universel. Dix minutes pour chaque intervention , puis un échange nourri avec les personnes présentes. Un film a aussi été projeté. Dans l’assistance, le père Philippe Basquin, curé de la paroisse Sainte-Emilie de Villeneuve, ainsi que des petites sœurs de Jésus, venues spécialement de Toulouse pour la circonstance !
A noter la présence d’une grande partie de l’équipe de laïcs de la fraternité Charles de Foucauld de Labruguière-Mazamet, qui ont contribué à leur manière à la préparation de cet événement.»

Ces soirées seront prolongées lors de l’après-midi du 1er décembre, à Labruguière (salle paroissiale, Impasse du Moulin de Maffre), à partir de 15h :
un film, une célébration eucharistique et des échanges nous permettront, le jour de la fête de Charles de Foucauld, de faire le point pour l’avenir.

Bienvenue à tous !

P. Claude Cugnasse

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Méditons avec le bienheureux Charles de Foucauld :

‘’La foi éclaire tout d’une lumière nouvelle autre que la lumière des sens, ou plus brillante, ou différente […].
Elle transforme tellement toute chose qu’à peine les anciens sens peuvent-ils servir à l’âme : elle ne perçoit par eux que de trompeuses apparences ; la foi lui montre les réalités.
L’œil lui montre un pauvre, la foi lui montre Jésus ; l’oreille lui fait entendre des injures et des persécutions, la foi lui chante : « Réjouissez-vous et jubilez de joie » […].
Le goût nous fait sentir un peu de pain sans levain, la foi nous montre : « le Sauveur Jésus, homme et Dieu, corps et âme ».
[Retraite à Nazareth, Charles de Foucauld et la fraternité, Denise et Robert Barrat, p. 98]