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Chanter l’anamnèse, dans la nouvelle traduction du Missel romain

Anamnèse vient du grec ana « vers le haut » et mnésis « action de se souvenir ». Dans la liturgie, « anamnèse » a non seulement le sens de « se souvenir », mais surtout celui de « faire mémoire ». Cet acte de « faire mémoire » rend présent, actualise ce dont on parle.

Ce que nous disons dans l’anamnèse se passe encore aujourd’hui et agit dans le cours de l’histoire et dans nos vies.

Le Missel romain donne la définition suivante : «  Avec l’anamnèse, en accomplissant l’ordre reçu du Christ Seigneur par l’intermédiaire des Apôtres, l’Église fait mémoire du Christ lui-même, célébrant principalement le mémorial de sa Passion bienheureuse, de sa glorieuse Résurrection et de son Ascension dans le ciel. »

Le Père Gaël Raucoules et Frédéric Deschamps, organiste à la cathédrale Sainte-Cécile proposent un enregistrement de chaque anamnèse proposée dans la nouvelle traduction du Missel romain.

(1) Le président dit : « Il est grand, le mystère de la foi »

— Nous annonçons ta mort, Seigneur Jésus,
nous proclamons ta résurrection,
nous attendons ta venue dans la gloire.

(2) Ou bien le président dit : « Acclamons le mystère de la foi »

— Quand nous mangeons ce Pain et buvons à cette Coupe, nous annonçons ta mort, Seigneur ressuscité, et nous attendons que tu viennes.

(3) ou bien le président dit : « Qu’il soit loué, le mystère de la foi « 

— Sauveur du monde, sauve-nous !
Par ta croix et ta résurrection, tu nous as libérés.

(4) ou bien le président dit : « Proclamons le mystère de la foi »

— Gloire à toi qui étais mort, gloire à toi qui es vivant, notre Sauveur et notre Dieu : Viens, Seigneur Jésus !

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